mercredi 19 juin 2013

La chanson du mercredi #25

Aujourd'hui c'est mercredi...et aujourd'hui, c'est la "chanson du mercredi"!
Je vous propose une love song comme les américains savent en faire : une belle voix, une belle fille, un texte qui claque et une mélodie à tomber! Bref, un tube en puissance...

La chanson du jour : "Out here on my own" par Irene Cara.




Ce tube, écrit par Michael et Leslie Gore, est issu du cultissime film/comédie musicale "Fame" d'Alan Parker, sorti en 1980. Elle y interprète le rôle de Coco Hernandez, jeune danseuse/chanteuse au sein de la troupe. Elle sera également l'interprète musical du titre phare de la BO "Fame".

La pochette originale...avec la coupe de l'époque!

En 1983, elle chante le titre "Flashdance, what a feelin'" (pour le film "Flashdance") et obtiendra l'année suivante le Grammy de la meilleure chanteuse pop.

Irene Cara a sorti deux albums "Anyone can see" (1982) et "Irene Cara presents Hot Caramel" (2011) et a participé à de nombreuses bandes originales de films jusqu'en 2007.

 Irene Cara aujourd'hui.


Le site internet d'Irene Cara


Quelques "covers", reprises du tube par d'autres artistes:


Naturi Naughton



 
 Susan Boyle



Sarah Blasco (version jazzy)


...et bien-sûr l'anglais impeccable de Patrick Fiori, en duo avec Tina Arena! Attention, c'est affreux!


L'accompagnement guitare pour grattouiller en chantant...


...et les paroles et leur traduction (via la coccinelle) :
 
Sometimes I wonder where I've been,
Parfois je me demande quel est mon parcours,
Who I am,
Qui je suis,
Do I fit in.
Si j'ai ma place,
Make believein' is hard alone,
Donner le change est difficile seule,
Out here on my own.
Ici bas tout seule.

We're always provin' who we are,
Nous cherchons toujours à prouver qui nous sommes,
Always reachin'
Cherchons toujours à atteindre
For that risin' star
Cette étoile au-dessus de nous
To guide me far
Pour me mener au loin
And shine me home,
Et éclairer mon foyer,
Out here on my own.
Ici bas toute seule.

 
When I'm down and feelin' blue,
Quand je suis au plus bas et que je me sens déprimée,
I close my eyes so I can be with you.
Je ferme les yeux pour être avec toi.
Oh, baby be strong for me ;
Oh, bébé soit fort pour moi,
Baby belong to me.
Bébé appartiens moi.
Help me through.
Aide-moi jusqu'au bout,
Help me need you.
Aide-moi à avoir besoin de toi.

Until the morning sun appears
Jusqu'au lever du soleil
Making light
Changeant en lumière
Of all my fears,
Toutes mes peurs
I dry the tears
Je sèche les larmes
I've never shown,
Que je n'ai jamais montrées,
Out here on my own.
Ici bas toute seule.


Out here on my own.
Ici bas toute seule.



bonne écoute !

lundi 17 juin 2013

Bon vent l'Armada 2013!

Voilà... c'est fini!

Les bateaux sont repartis ce dimanche vers leurs pays d'origine, après deux semaines de festivités à Rouen. Toute la journée, ils ont parcouru la Seine jusqu'à l'océan, dans la "Grande Parade de la Seine". 
En tout, 120 kms de méandres de Rouen à l'estuaire en 8h de navigation environ et plus d'une quarantaine de bateaux, voiliers et navires de guerre...

La fête était pour moi dans le pays de Caux, mon fief. Nous avons attendu les bateaux jusqu'à midi, pile pour l'apéritif ! Le soleil était caché mais la parade était belle et joyeuse comme à chaque fois...


© les bavardages de Juliette

Vue plongeante sur la Seine et le pont de Brotonne, aux premières loges de la fête des bateaux...


© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette

© les bavardages de Juliette

Un demi-tour réussi pour ce navire de guerre, sous nos yeux ébahis !

© les bavardages de Juliette

Le plus beau selon moi, le voilier mexicain Cuauhtémoc, avec ses marins sur les voiles.

© les bavardages de Juliette

De près, ce sont bien des marins et pas des mannequins !


Pour en savoir plus, le site de l'Armada, avec photos et un tas de renseignements sur les bateaux...


© les bavardages de Juliette

Le plus important pour réussir la journée était bien-sûr d'avoir un guetteur et un programme !


Bon vent à tous !
 

samedi 15 juin 2013

Lancement de Vivacité 2013

Amis Saltimbanques bonsoir !
Je vous ai déjà parlé du festival Vivacité l'année dernière, organisé à Sotteville-les-Rouen. C'est reparti pour 2013 avec la 24ème édition de fête, de danse, de théâtre et d'autres réjouissances!





Ce soir avait lieu, place de l'hôtel de Ville, une grande avant-première des spectacles à venir. La Compagnie Oposito nous a offert une déambulation en ville. 18 comédiens, danseurs et chanteurs et 4 musiciens se sont baladés avec leurs chaises pour un spectacle haut en couleur appelé "Kori Kori".

Les comédiens suivaient les musiciens, qui suivaient eux-même des "sound systems"(!). Le tout était poursuivi par le public conquis!


Un peu d'ambiance pour commencer...

- pour voir les vidéos en plus grand (le lecteur blogspot est un peu léger!), cliquez n'importe où sur la page, et appuyez sur ctrl + la molette de la souris -


© les bavardages de Juliette


 
© les bavardages de Juliette


 
 
© les bavardages de Juliette


 
et une belle galerie de personnages...


© les bavardages de Juliette

© les bavardages de Juliette

© les bavardages de Juliette

© les bavardages de Juliette

© les bavardages de Juliette

© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette


















...et de belles perspectives !


© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette



© les bavardages de Juliette


© les bavardages de Juliette





 
© les bavardages de Juliette
 

Le spectacle d'ouverture officiel aura lieu vendredi 28 juin. Le coup d'envoi sera lancé par "Annibal et ses Elephants" pour un spectacle éblouissant.



Alors vous faites quoi le dernier we de juin ?!






jeudi 13 juin 2013

"After Earth" : c'est beau mais c'est loin !

La chronique ciné du jour porte sur le nouveau blockbuster du réalisateur au nom imprononçable M. Night Shyamalan. On lui doit entre autres les inquiétants "6ème sens", "Le village" et "Phénomènes". Révélé par "6ème sens" et "Signes", on ne cesse d'attendre une autre merveille de ce réalisateur singulier. Malheureusement, il semble que ce ne soit pas encore pour cette fois-ci ...




L'histoire :
Le Général Cypher Raige et Kitai sont père et fils. Peu présent auprès des siens du fait de sa carrière militaire, Cypher tente de se rapprocher de son fils en l'emmenant dans son dernier déplacement professionnel. Le vaisseau se crash sur une planète en quarantaine depuis des milliers d'années, la Terre. La survie commence et Kitai va devoir rapidement devenir un homme...





Mes impressions :
Le pitch étant posé, on comprend rapidement dans les rapports très caricaturaux du père absent et du fils en colère qu'il s'agira ici d'un rite initiatique pour devenir un homme, un vrai, un tatoué! Car c'est bien d'un duel père/fils emmené par les père/fils Smith, Will et Jaden, dont il est question.

Will Smith est plutôt absent en tant qu'acteur, se limitant à quelques scènes où il guide son fils comme il le peut, laissant la part belle à son acteur de fiston, Jaden Smith. Le rapport est intéressant puisqu'ils partagent le même lien à la ville et à l'écran, ce qui devrait rendre crédible cette histoire de lien familial. Pourtant, j'ai eu une impression de coquille vide malheureusement. Jaden Smith est loin d'avoir le charisme de son père au même âge. Il est envoyé seul au milieu des dangers d'une planète en quarantaine, tout chétif qu'il est, et on n'y croit pas une seconde! Erreur de casting ou film trop ambitieux, il y a quelque chose qui cloche et qui m'a rendue mal à l'aise.



Il faut dire que j'ai vu la séance en VF (argh!) et que cela n'a pas arrangé mes affaires. La voix de Will Smith est la même que celle du "Prince Bel Air" où il avait cartonné dans les 90's. Ca va, on n'est pas trop déboussolés! Celle de Jaden Smith est par contre carrément désagréable. Trop enfantine, elle ne colle pas avec cet ado qui devient un homme. Bon, je n'attendais pas non plus les décrochés de voix d'un ado boutonneux en pleine puberté mais tout de même...



Les bizarreries du scénario SF s'enchaînent. Le rythme est tantôt ultra rapide, on fait des bonds dans le temps alors qu'il aurait quasiment fallu faire de la survie "en temps réel"... tantôt très lente avec des flashbacks sur l'histoire familiale et les drames survenus plus tôt. Le jeune Kitai, jamais sorti des jupes de sa mère est un ranger en devenir, qui a besoin de prouver à son père qu'il n'est pas un lâche. Avaler une centaine de kms en 4 jours sans manger et sans boire (et sans faire pipi!) ne lui pose aucun problème. A peine une petite infection boursouflante qu'il résorbe en se jetant sur une aiguille...
Quand au grand Will, une fracture de la jambe le gène un peu, mais c'est surtout l'hémorragie générale qu'il subit qui devrait l'embêter un peu plus! Pourtant, on est un homme où on ne l'est pas, 4 jours à se vider de son sang ce n'est pas la mort...il est Américain quand même !



J'exagère bien-sûr! "After Earth" est un peu caricatural mais c'est un film de SF qui ravira les amateurs du genre. De superbes images à la "Avatar" et un pitch de départ tout de même alléchant. Ce n'est pas tous les jours que le héros n'est pas celui auquel on s'attend. Le décor est vraiment splendide. La Terre est abandonnée depuis des milliers d'années (à partir de nos jours, tremblez!) et a évolué toute seule comme une grande. On y trouve un air irrespirable, des plantes toutes les plus bizarres les unes que les autres et des espèces animales rampantes, volantes et terrifiantes! Ajoutez à cela un "alien-crevette" qui mange tous les humains et vous aurez un blockbuster efficace, à grandes sensations!


Finissons par la chute (en hommage à ma collègue Vonnette qui souhaitait que je le précise). Ca va, la chute aurait pu être pire...un peu d'humour bienvenu sauve ce qui aurait pu être une fin assez affligeante !


Comment ça je suis méchante ?! 


la bande annonce




Faites-vous votre propre opinion et dites-moi ce que vous en pensez !



mercredi 12 juin 2013

La chanson du mercredi #24

La chanson du jour sera multiple parce que j'aimerais aujourd'hui vous parler d'un album que j'aime beaucoup "Vagabonde" de Claire Denamur.



Elle est jolie, talentueuse et française, autant de bonnes raisons d'en parler, non ?! Un premier extrait pour commencer "Rien de moi" en live. 



Claire Denamur est française donc. Petite, elle suit son père aux Etats-Unis et baigne dans la culture américaine, bercée par Johnny Cash, Led Zeppelin et les Pink Floyd.
Elle sort un premier album éponyme en 2009 de chansons d'amour ("Le prince charmant", "Mon bonhomme", "La mal aimée"). Aujourd'hui, elle décrit cet album comme faisant partie d'une autre vie pour elle : toutes les chansons de l'album avait été écrites beaucoup plus jeune.
Cette année, elle a participé à la bande originale de la série "Tiger Lily" produit par France2. Elle y a signé 3 titres rock "Beretta", "Dog days are over" et "Desire".


"Vagabonde" paru en 2011 correspond mieux à sa vie actuelle et à son état d'esprit. On la décrit volontiers comme un Johnny Cash au féminin...
Plusieurs titres ont été composé par le chanteur et musicien Da Silva ("Le ciel", "Bang bang bang", "Rien à me foutre en l'air"). "Together" émeut particulièrement la chanteuse puisqu'il a été écrit par son petit frère, en anglais, Laurent Denamur.
Claire Denamur possède une voix singulière, grave et rauque mais avec beaucoup de sensibilité. 


Mon titre préféré : "34 septembre". Ici en version acoustique, plus lente.

"Vagabonde" est un album très complet. Il déroule des textes et musiques aux accents country américains. Un vrai road trip par une petite frenchy pleine de talent...

 Pour finir, le titre "A child" à la guitare.


pour en savoir plus une petite vidéo de Claire Denamur.

Le site internet de Claire Denamur.


Les paroles de "34 septembre"

Il y a des jours on ne revient pas
des incendies furieux d'autrefois
Il y a des jours on reste là
au beau milieu du chemin noir d'autrefois
Il y a des nuits où l'on ne rêve plus
et que passent les heures, passent les leurres.
Il y a des fossiles sous nos peaux
des creux des vagues qui nous ravagent la nuit.
Il y a des faux-semblants qui cèdent
la place à d'autres ennemis amis.
Il y a des nuits où l'on ne rêve plus
et que passent les heures, les heures.


Alors on sort les mains moites
le coeur en écharpe, bien serrée
Sur le bord des comptoirs
on laisse de l'espoir filer.


Il y a des jours on ne rentre plus
de ces nuits blanches insensées parfois.
Il y a des jours on paye le prix
des hauteurs convoitées tant de fois.
Il y a des nuits où l'on ne rêve plus
et que passent les heures passent les leurres.
Il y a des hommes sous des plafonds
profonds comme des océans aux abois.
Il y a des ombres dont on ne sait rien
qui vous gagnent et vous perdent mille fois.
Il y a des nuits où l'on ne rêve plus
et que passent les heures, les heures.
 

Alors on sort les mains moites
le coeur en écharpe bien serrée.
Sur le bord des comptoirs
on laisse de l'espoir filer
de l'espoir filer







A écouter d'urgence ! 



lundi 10 juin 2013

"Gatsby" et "Very Bad Trip 3", aussitôt vus et déjà oubliés!

Le titre de ma chronique ciné du jour est suffisamment clair je pense! Deux films très attendus par le public mais qui pour moi manquaient d'un petit quelque chose...
Je ne ferai pas de comparaison entre les deux puisqu'ils sont vraiment très différents l'un de l'autre, mais ce sont tout de même deux blockbusters, annoncés par moult promo et dont j'attendais peut-être beaucoup!
Au banc d'essai : "Gatsby le Magnifique" de Baz Luhrmann et "Very Bad Trip 3" de Todd Phillips.




Gatsby le Magnifique



L'histoire :
Nick Carraway (Tobey Maguire), jeune écrivain en devenir, se fait introduire dans la jetset New-yorkaise par sa cousine Daisy Buchanan (Carey Mulligan). C'est là qu'il fait la connaissance de son étrange voisin, Jay Gatsby (Leonardo Di Caprio), milliardaire caractériel et fascinant...


Tobey Maguire joue Nick Carraway, jeune naïf prêt à tout.


Mes impressions :
Encore une fois, je me suis sentie vieille tout d'un coup! J'avais adoré les films précédents de Baz Luhrmann "Romeo + Juliet" et "Moulin Rouge", mais j'avais 15 ans, alors voilà...

La première partie est longue, très longue (trop longue!) et montre la débauche de fête, d'alcool et de frivolités pendant les années folles aux États-Unis. Les personnages sont campés, d'accord, mais on a envie d'autre chose. On ne voit pas forcément où le réalisateur veut en venir. Est-ce une simple description de New York dans les années 20, une galerie de portraits ou réellement un drame qui se noue? Tout cela à la fois, et c'est bien ce qui pose problème. Baz Luhrmann a voulu trop en faire et semble s'être noyé dans des tas de scènes pas forcément utiles.

Leonardo Di Caprio est le nouveau Gatsby, il succède au charismatique Robert Redford.

La deuxième partie s'enchaine alors et pose la dramaturgie de l'histoire. En effet, "Gatsby" est avant tout un roman de Francis Scott Fitzgerald, paru à New York en 1925. Il se voulait bien-sûr être le miroir d'une société gangrénée par l'argent et le pouvoir. C'était une satire des Grands de ce monde à l'époque de la Prohibition. Je n'ai pas lu ce roman mais il semble que l'adaptation y soit très fidèle. Deux autres films avaient été réalisés mais le plus connu reste celui de Jack Clayton avec Robert Redford, en 1974.

Un commentaire rapide sur le casting : j'ai beaucoup de mal à accrocher avec Tobey Maguire, mais c'est très personnel ! Pour moi, il a le charisme d'un poisson mort (ouh que je suis vilaine!). Il fait son job tout comme Leonardo Di Caprio mais je n'ai pas été touchée par leur interprétation. Quant à Carey Mulligan, sensée rendre fou d'amour Gatsby, il me semble que le casting est un peu léger. Elle est mignonne d'accord mais de là à se damner...

Carey Mulligan joue la jeune Daisy Buchanan, pauvre petite fille riche qui s'ennuie à mourir.

Une dernière remarque sur le style en lui-même. C'est un parti pris que font certains réalisateurs et que j'ai beaucoup de mal à suivre : le décalage constant entre le film d'époque et la réalisation punchy d'aujourd'hui. Sous couvert de rendre un film d'époque "moderne", Baz Luhrmann use et abuse d'effets de caméra, de mises en scène et de raccourcis qui finissent par donner la nausée. J'avais fait le même reproche à Guy Ritchie et à ses "Sherlock Holmes" nouvelle formule. C'est très personnel, certains aiment mais moi non !


la bande annonce




Very Bad Trip 3



L'histoire :
Alan (Zach Galifianakis) est en plein spleen...à vrai dire ce sont plutôt ses parents qui sont en dépression ! Ils ne supportent plus que leur fils de 40 ans squatte chez eux et vive comme un adolescent immature.
Ils chargent alors ses amis Phil (Bradley Cooper), Stu (Ed Helms) et Doug (Justin Bartha) de l'emmener dans une clinique pour qu'il aille mieux. Mais les choses vont rapidement déraper...



Mes impressions :
Troisième volet déjà pour un film au départ qui m'avait plutôt plu. Je ne m'étais pas déplacée pour le second opus de Todd Phillips et j'aurais peut-être dû m'abstenir pour ce troisième épisode ! Non pas que le film soit particulièrement mauvais mais il sera aussi vite oublié !
Quelques passages vraiment déjantés (la marque de fabrique de la saga) sont très drôle mais voilà...ça ne suffit pas à en faire un bon film.
Cette suite tourne autour de Zach Galifianakis (Alan) qui joue à merveille les loosers ringards. Bradley Cooper (Phil) et Ed Helms (Stu) donnent le change pour le mettre en valeur.


Les gentils sont gentils et les méchants très méchants...ainsi va le monde ! C'est un bon teenage movie, rapidement consommé et rapidement digéré  pour moi. Un dimanche soir à la télé, ça marche aussi !




La bande annonce



et vous ? vous avez aimé ?!



dimanche 9 juin 2013

Tous au 104 : l'expo Keith Haring

Sympathique petit rendez-vous qui devient régulier, ma parisienne préférée et moi parcourons les expos le dimanche, en quête d'un certain enrichissement culturel!
Cette fois, nous recommandons la très belle expo du plasticien / artiste Keith Haring, disparu en 1990.


Rendez-vous pris au "104", espace d'expositions et de rencontres artistiques (cours de danse, de performances, etc...); un peu mal situé dans le 19ème (métro Riquet) vu le quartier qui l'entoure, mais réel nid d'influences pour jeunes artistes qui se cherchent!

© les bavardages de Juliette

L'expo Keith Haring n'est pas très grande : 4 salles en tout et pour tout, mais abritant des toiles monumentales de 7m50 notamment.


© les bavardages de Juliette



© les bavardages de Juliette

A l'extérieur, trois sculptures gigantesques devant lesquelles le public vient se faire prendre en photo, et une petite cabine rustique diffusant trois documentaires sur l'artiste. Enfin, un "Tokyo shop" qui, comme son nom l'indique, propose des objets signés par le "Maître".


© les bavardages de Juliette



© les bavardages de Juliette

On en apprend plus sur cet ovni de la pop culture des 80's; notamment qu'il s'est fortement inspiré des graffitis et des tagueurs new-yorkais, avant de développer son propre style très simplifié, à la portée de tout un chacun.
L'art de rue souhaite mettre à disposition la Culture au plus grand nombre. Inutile de se déplacer dans les galeries ou les musées, l'Art est partout et surtout dans la rue !


© les bavardages de Juliette



© les bavardages de Juliette

Keith Haring s'est entouré d'un microcosme d'artistes de tous poils, à faire palir les plus grands jetsetters aujourd'hui : Madonna, Andy Warhol ou encore Grace Jones... On savait rigoler à l'époque !


© les bavardages de Juliette

Même si elle n'est pas très fournie, je vous recommande cette expo au 104, pour admirer l'oeuvre d'un artiste singulier. Jusqu'au 18 aout 2013.


© les bavardages de Juliette

pour en savoir plus, le site de l'artiste

et bien-sûr la programmation du 104





...et puisqu'on parle de graffitis, vous pouvez aussi voir les photos de Philippe Gaudry, exposant dans le bar "le Bizart" jusqu'au 30/06. Il a photographié des graffitis évoquant la femme dans toute l'Europe.
Expo "Graff'isme : elles belles".


copyright Philippe Gaudry